LA QUOTIDIENNE

n° 8 - jeudi 15 juin 2000

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SOMMAIRE
- Editorial
- *Intervention sur l'Ecole*, par Miquel Bassols (Barcelone)
- * Subjectiver l'Ecole*, par Gabriela Dargenton (Cordoba, Ar.)
- *Actes de candidature*
- Nouvelles
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EDITORIAL

Sur la lancee de la *Declaration*, et a la suite du Seminaire de
politique lacanienne du mois de mars, des avancees se font jour sur le
concept de l'Ecole. Le texte de Miquel Bassols en temoigne, qui date
d'une semaine avant mon intervention de Turin. Quant au texte de
Gabriela Dargenton, AE-EOL derniere generation, il m'est parvenu
aujourd'hui meme, accompagne d'un mot de Leonardo Gorostiza (Buenos
Aires) : *El domingo pasado, tuve a mi cargo la coordinacion de la mesa
de los AE en las Jornadas de la Seccion Cordoba. El testimono conceptual
de Gabriela Dargenton ha sido para mi un excelente ejemplo de lo que
puede ser el AE como analista de la experiencia de la Escuela.* Par
ailleurs, Luis Erneta et Patricia Markowicz, tous deux de Buenos Aires,
font acte de candidature au Comite de l'Ecole Une. - JAM
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INTERVENTION SUR L'ECOLE

par Miquel Bassols

Qu'est-ce que c'est que l'Ecole ?

Il s'agit d'un concept fondamental dans l'orientation lacanienne, tel
que l'a invente Jacques Lacan dans les annees 60. Par la suite,
Jacques-Alain Miller l'a developpe.

Aux quatre concepts isoles par Lacan comme fondamentaux dans la
psychanalyse - l'inconscient, la repetition, le transfert et la pulsion
-, il faut ajouter en effet comme *plus-un* ce concept d'Ecole qui n'est
que la consequence institutionnelle de l'articulation des quatre
concepts premiers.

C'est pour cette raison que Jacques-Alain Miller soulignera l'expression
de Lacan sur l'Ecole comme une *experience inaugurale*. Il ne dit pas
*experience des membres de l'Ecole* mais *experience de l'Ecole*.
C'est-a-dire que l'Ecole est elle-meme une experience subjective, et non
pas seulement experience subjective pour chacun de ses membres, pris un
par un, mais *experience subjective* de l'ensemble de l'Ecole prise
comme collective, c'est-a-dire, pour reprendre une definition du
*collectif* tres ancienne chez Lacan meme - dans une note de son texte
sur *Le temps logique...* (*Ecrits*, p. 213) -, comme *le sujet de
l'individuel*. L'Ecole comme sujet de l'individuel est une experience
qui peut se poser au meme titre que l'experience analytique pour le
sujet. En fait, c'est la these meme de Freud dans sa *Psychologie des
foules et analyse du moi* : ce qui se passe dans la masse est, dans sa
structure, le meme qui se passe dans le rapport d'un sujet avec l'autre,
avec independance du nombre.

Dans l'experience de l'Ecole, il s'agit de la structure d'une experience
subjective au-dela du nombre d'individus en jeux. C'est une experience
subjective que l'on peut analyser au meme titre que l'experience d'un
sujet, et c'est pour cette raison que l'on pourra definir l'Analyste de
l'Ecole comme analyste de l'experience de l'Ecole.

Donc, nous avons l'Ecole comme un concept et comme une experience qui
est liee a l'enseignement de Lacan d'une façon inherente a sa structure
meme.

Cela fait de l'Ecole une institution tres particuliere, qui n'a rien a
voir avec un college professionnel, un appareil universitaire ou un lieu
quelconque ou l'on dispense un savoir et un titre pour verifier son
acquisition. C'est une institution qui se constitue, qui s'ordonne
plutot autour d'un manque de savoir, le manque qui fait la raison de son
experience et que nous pouvons resumer dans la question : qu'est-ce que
c'est un analyste ?

Le fait de ne pas avoir a l'avance une reponse a cette question, le fait
de ne pas avoir une definition extensionnelle de l'Analyste comme un
universel, comme une serie de traits auxquels on pourrait s'identifier,
le fait que l'Ecole lacanienne se fonde sur le manque de l'Analyste
comme un universel, fait toute la difference de cette Ecole avec l'IPA
ou un groupe autre d'analystes qui sont deja reconnus entre eux.

Le concept et l'experience de l'Ecole lacanienne se constituent
justement autour de la question portee a la limite sur qu'est-ce que
c'est un analyste. C'est l'experience d'une elaboration de savoir dans
une communaute de travail, de transfert, sur cette question.

Quelles sont les instruments de cette experience d'Ecole ?

Il y a plusieurs façons de poser ces bases instrumentales, dans une
perspective historique, dans une perspective statutaire, ou meme dans
une perspective d'analyse institutionnelle. Mais dans l'experience de
l'Ecole tel que Lacan l'a invente, il y a deux instruments basiques pour
s'introduire et soutenir cette experience.

Ce sont les cartels, l'elaboration d'un savoir dans les petits groupes
des cartels provoquee par un plus-un, et c'est le dispositif de la
passe. Je ne m'etendrai pas sur ces deux appareils que vous connaissez
deja, mais seulement souligner que nous avons fait d'eux les portes
d'entree a l'Ecole.

Le cartel est une façon privilegiee de s'introduire a l'experience de
l'Ecole comme une experience d'elaboration d'un savoir sur la
psychanalyse, une elaboration dont on attend un produit propre a chacun,
meme sans avoir besoin d'etre membre de cette Ecole.

Quant a la passe est la place centrale ou l'on attend du sujet qui en
fait l'experience la production d'un savoir nouveau sur ce qu'est un
analyste. Et meme, on a fait de la passe, a partir d'une proposition de
Jacques-Alain Miller, un instrument valable et operatoire pour decider
de l'entree d'un candidat comme membre de l'Ecole. C'est ce que l'on a
designe comme *l'entree par la passe*.

Donc, le cartel et la passe constituent les instruments operatoires pour
s'introduire a l'experience collective, a l'experience de transfert que
le concept d'Ecole designe.

Reprise partielle d'une intervention faite a Gand (Flandres) en mai
dernier.
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SUBJECTIVER L'ECOLE

par Gabriela Dargenton

1 - La alienacion al Ideal: la Escuela como grupo

Yo no ingrese a la Escuela por el pase, ni por la admision. Fue en su
momento fundacional que algunos que alli estuvieron en ese trabajo,
hicieron su apuesta y supe un dia que yo formaba parte de una lista, de
un Anuario que me contaba miembro de la EOL, analista practicante. A
esta apuesta ganada, la agradezco. Precisare ahora como se modulaba la
relacion entre la transferencia analitica y la Escuela. Perfectamente
conforme a la posicion analizante que se ubicaba como rechazo de todo
saber con su correlato superyoico que solo sostenia el goce obtenido del
fantasma, la Escuela no constituyo para mi en sus inicios, mas que la
continuidad del confort extraido de una institucion analitica a la que
asistia, hacia ya 5 anyos, y que -segun mis propias palabras- *se le
habia ocurrido cambiar de nombre*. Ese confort entonces, goce
satisfactorio, podia establecerse como el correlato de aquel tiempo de
la experiencia analitica en 3 puntos:

I) La pasion de la ignorancia -*crasa ignorancia*, diria Lacan- cuya
forma era en la Escuela, la de la pretension Ideal de un saber textual
que deberia alcanzarse en su totalidad.

II) El axioma del fantasma sostenido en la frase *esperar ser elegida
para...*, era la ficcion a cuyos servicios la sujeto desplegaba una
intensa actividad de modo de quedar siempre en la posicion de objeto de
la Demanda del Otro, que asi podia hacer consistir, decidir y existir.

III) El lazo de la analizante a la pareja analista-analizante, que
anudando ignorancia y fantasma, cubria su falta en ser bajo la formula:
*ser la analizante de*, carnet de identidad que inscribia por la via del
amor, la imposible separacion del Ideal con el *a*. De este punto
destaco solo una de las muchas consecuencias que este impasse
estructural de la transferencia producia en relacion a la forma que
adoptaba el lazo social en la Escuela. Solo me era posible trabajar en
cualquier espacio, si primero me aseguraba la identidad de la
procedencia analitica de mis colegas, consistencia imaginaria de un
grupo que ademas de anular la singularidad de cada uno -inclusive la de
los supuestos semejantes- ubicaba en el centro un Uno homogeneizador y
decodificador de todos: nadie, sino Ella podria hablar y ensenyar el
psicoanalisis; unica elegida, servia a la sujeto de velo del propio
horror. Entre la pretension Ideal del Saber total, la posicion soportada
en el fantasma y el analista en el lugar del Redentor, la Escuela era un
nombre de la impotencia. Eric Laurent, senyala en su articulo *La
Escuela y lo peor* (1), que una vez hecho el pasaje, en la ensenyanza de
Lacan, del inconsciente como verdad al inconsciente como saber, es
posible anudar lo imposible de la relacion sexual al concepto de lo
peor, alejandolo, vaciandolo del patetismo, via el pasaje epistemologico
senyalado. Nos recuerda Laurent, que uno de los nombres de lo peor es el
horror. Los tres horrores senyalados por Lacan: horror a la verdad,
horror al acto y horror al saber, que habitan al hablante, pero
fundamentalmente al analista, deberian ser los eslabones capaces de
hacernos considerar como se anudan a lo Real, a lo peor, a lo que mas
alla del padre puede situarse para pensar la idea de una Escuela.

En mi caso, el tiempo arriba desarrollado articulaba, a la inversa, el
horror (en su triplicidad) al pathema, pero por la via de su rechazo, es
decir, no aceptar confrontarse con el Real en juego en la formacion
analitica.

2 - El pase de la impotencia a la imposibilidad: la Escuela como
experiencia inaugural

En la otra punta de la experiencia analitica, situare ahora como se
efectivizo, en este caso, el pasaje del lleno al vacio; del Uno
homogeneizador al Uno que orienta. Situada la Escuela como un
partenaire, un sintoma, esta pareja que yo tenia pasa de ser sostenida
como sitio de la impotencia a fundar un lugar posible de enlazarse a
partir del reconocimiento del horror sin patetismo que se ubica en su
centro. Por lo tanto, lejos tambien del ideal purista de la Escuela sin
grupo, aunque advertida de lo que conviene que lo anude. Fue necesario
para ello, no solamente el pasaje por las coordenadas del fantasma, sino
descifrar la relacion analitica que hasta ese momento hacia existir. Un
suenyo de transferencia cumplio esta funcion. El texto es su
interpretacion: *Un viaje de estudio y un poso inmensamente grande al
medio, profundo, y al que le temia. Notaba la rotura de la tierra como
en un terremoto. Gente alrededor de esa fisura, colegas de la EOL y yo
enfrente. Una mochilita fea, de esas en las que se llevan pocas cosas,
pero las esenciales. Era la de mi hija menor (homonima al nombre de mi
analista). Yo repetia: 'se cayo para siempre' y trataba de explicarle a
la gente que el envase era medio feito pero sin lo de adentro no podria
realizar el viaje pues alli llevaba: pasaporte, DNI, cedula, tarjetas.*
El inconsciente interprete.

Articulo ahora entonces la clinica del momento de pasaje de
transferencia a la Escuela, aquel en el que cuando ya no hay ni el
analisis ni el analista, hay sin embargo la orientacion: la soledad del
acto pasa a los otros.

Pedir el pase en la EOL fue la respuesta a si aceptaria, o no, a
entregar a la Escuela ese saber certero que la experiencia analitica
habia ordenado para que se haga transmisible a otros. Pasar a la Escuela
implico entonces la caida del pase como Ideal, entonces marcado con el
Nombre del Padre, al pase como experiencia de Escuela que se inscribe
asi mas alla del padre.

En mi caso, la eficacia del sintoma singular deducido en el fin de la
cura, tuvo la funcion de senyal que produjo tanto el cese del tiempo
anterior al pase que llame de *ensimismamiento*, como el cese del *no*
inscripto desde la entrada en las condiciones de eleccion del analista
hasta el momento del fin.

- Respecto del primero, es decir de la interrupcion de ese goce
esceptico (mezcla de estupidez de existencia y resignacion) que sin
embargo estaba anudando a la fuerza de la inercia pulsional del sintoma,
el pase en la EOL opero como la decision de elegir un nuevo modo de
enlace con la pulsion: supe que debia hacer alli otra cosa que eso, con
eso, ir al Otro, la Escuela que con su forma vacia, ofrecia el lugar
para lo que yo queria: transmitir la eficacia de una experiencia de
transformacion de una vida *apalabrada*, en la emergencia del deseo del
analista. Transmitirlo en su logica, si, pero tambien en acto: hacer el
pase, esto es, dirigirse al corazon de la Escuela, que pienso como lo
que se efectiviza del pasaje del trabajo de la transferencia a la
transferencia de trabajo. Se trataba ahora de demostrar, siendo su
agente, esa experiencia descubierta en el fin de la cura donde la
destitucion subjetiva anudada al instante de captacion de la
desinvestidura del analista como Sujeto supuesto Saber hacen identicos
el deseo del analista a su enunciacion.

- Respecto del cese del *no* (segunda vertiente senyalada), fue solo en
ese momento del fin que se hizo posible para la analizante captar por un
instante su *no* consentimiento concomitante al cese del goce obtenido
en al transferencia misma, del analista en el lugar del padre muerto.
Del gusto de la analizante por sostenerlo asi quedando tambien muerta,
fascinada en la eternizacion de una paga que saldaba asi la propia
cobardia de la eleccion por un deseo que se inscribia alli con la forma
del colmo de una ironia: parada sola, con el dinero en la mano, tras
haberse citado ella misma, en tiempo y hora modulado por el saber que la
propia analizante no queria dejar de ignorar. Recien alli entonces puede
presentificarse la pregunta que hara de umbral : *¿que hago aqui?*, con
su efecto algo ridiculo.

- Con esta estructura, el pase en la EOL tuvo como efecto el acto que se
marcaria con el signo de la confianza en dos direcciones:

a) El cese de la creencia en el sujeto supuesto saber, correlativo ala
captacion del vacio que centra la estructura, produce la fuerza de la
identificacion al sintoma, la confianza en el punto limite arribado en
la transferencia analitica alli donde *No-hay* ninguna garantia mas que
esa misma: S(A).

b) De alli la confianza en el dispositivo institucional que, en mi caso,
tuvo la marca de los buenos encuentros. Puede experimentar la fuerza de
una ensenyanza, y la validez de una Escuela que decide su orientacion:
*No hay escuela sin pase*, agrego a ello pues esa es su garantia, el
refugio mismo de su imposibilidad.

¿Que tuvo esto como consecuencia? En primer lugar, el abandono de la
pasion por la verdad: esa que creia que podria alcanzarse toda cuando se
reescribe la pagina en blanco del inconsciente; esa de la que Lacan nos
ensenya que es impotente para alcanzar lo Real, esa que Freud mismo fue
aceptando abandonar en provecho de poner en el centro la pulsion de
muerte; la misma que nos hace suponer que hay unos que *dicen la verdad*
y *los otros mienten*, omitiendo la paradoja que soporta el que lo
enuncia; esa, finalmente, que nos amarra al pasado haciendolo una
condena de un destino cuando sabemos que el pasado determina pero no
condena a nadie que no quiera. En sintesis, el abandono de la
religiosidad. JAM lo indica recientemente (2): *Es un error pensar que
el pasado se esclarece por pensar en el pasado. El pasado se esclarece
por el futuro, es lo que significa el apres-coup.* Es esta una
ensenyanza de la clinica por minima que sea la experiencia analitica,
sabemos que es siempre bajo el regimen del encuentro que algo de lo
Mismo puede trocar. Guillermo Belaga nos ensenyaba en Rosario algo de
este momento subjetivo que nombro como la *pluralidad de los mundos
posibles*, resonancia de la forma femenina de la verdad no toda que
permite otro tipo de inclusion en el conjunto.

La otra consecuencia fue la de pensar el pase como destino del amor de
transferencia, que permite verificar dos cosas:

a) No hay liquidacion de la transferencia (3), sino que ella se anuda a
la escuela, al porvenir del psicoanalisis y a su transmision. En ello
encuentro una de las vias de lo nuevo en el amor.

b) La caida del SsS y el encuentro con la inexistencia del Otro, no
produce necesariamente cinicos sino que por ello mismo da lugar a una
nueva relacion con el saber centrada por ese agujero y que nos hace
incautos siempre de lo Real, un nombre del deseo del analista.

Trace hoy para ustedes la logica que ligo una experiencia analitica a la
forma Escuela y algunas de sus consecuencias, intentando demostrar que,
como lo indica JAM *una Escuela no tiene ningun interes si no es una
experiencia inaugural (Lacan) una experiencia subjetiva autentica y
analizable como tal* (4).

(1) Laurent, Eric, *L'Ecole et le pire*, Archives de Psychanalyse,
Paris, Eolia.
(2) Miller, Jacques-Alain, *Carta a INES*, AMP-Varia, 25/05/2000.
(3) Remito a mi trabajo *Amor de transferencia: un amor vacio*, en
AA.VV, *Vida privada: la clinica y la epoca*, Cordoba, EOL, col.
Orientacion lacaniana, 2000, pp. 171-179.
(4) Miller, Jacques-Alain, *op. cit.*
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ACTES DE CANDIDATURES

Luis Erneta

Estimados Colegas: ofrezco mi candidatura al Comite de Accion.

Dos motivos me impulsan: la confianza, motivada en razones, en que la
Escuela Una es un paso mas en la realizacion del concepto de Escuela
como experiencia analitica, lo que contribuira, espero, a la realizacion
de cada una de las escuelas actuales y futuras. Y la confianza en que la
contribucion que eventualmente pudiese hacer a la tarea de ese Comite,
ayude a esa realizacion.

Como ven, es un voto de confianza, redoblado. Es tambien un modo de
decir que Si, una vez mas, a la orientacion que hemos tomado.

La Escuela Una es necesaria; mi presencia en el Comite no lo es. Es
necesario hacer saber de mi deseo de estar ahi; eso abre la condicion de
su posibilidad. La Asamblea dira.

14 de Junio de 2000

***

Patricia Markowicz

Despues de leer el escrito de Graciela Brodsky, *Comite Omega*, me
siento autorizada para proponer mi candidatura a dicho Comite. (...)

Se que puedo encarnar esa figura heterogenea, provocadora,
antiburocratica, que no resulta de acuerdos pre-electorales.

Es mas, muchas veces pense si los que no salimos de tales acuerdos
tendremos alguna vez, realmente, un lugar en nuestra Escuela (mas alla
de trabajar muy decididamente, mas alla de estar coyunturalmente en las
distintas gestiones; un lugar planteado como necesario, como lo que
posibilitaria la descompletud).

Es la primera vez que algo asi sale a la luz. No se si es el pensamiento
de Graciela, o si ella representa el espiritu de lo que intentamos,
ahora, formalizar a traves de la Escuela Una.

De ser asi, presento mi nombre para formar parte del Comite Omega, de la
Escuela Una.

Cordialmente.

15 de Junio de 2000
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NOUVELLES

- Annalisa Davanzo, Presidente de la SISEP, demissionnaire a la suite de
la reunion des Stelline a Milan le 18 decembre dernier, m'informe ce
jour qu'elle rejoint les forums.

- Marco Mauas ne devant pas etre sur place lors de l'AG du 14 juillet,
sa candidature au Comite de l'Ecole Une ne sera pas presentee aux
suffrages.
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Aparaitre : M.H. Brousse, *L'Ecole Une et l'EEP-Developpement* ;
Commission de redaction, *Projet de document andin-caraibe* ; M. de
Francisco, *L'ELP et l'Ecole Une* ; Y. Grasser, *Lettre* ; E. Laurent,
*Le sens du Un* ; J.A. Miller, *Problemes andins-caraibes*, *Apertura* ;
J. Santiago, *Sur le mutualisme* ; P. Sidon, *Problemes de la place de
l'AE* ; P. Theves, *Tendance-Une* ; D. Vallet, *L'Ecole Une, du nouveau
a inventer*
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LA QUOTIDIENNE
Lettre d'information de l'AMP
publiee a Paris
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Adresser les textes de la maniere suivante :
objet : LQ (suivi du titre)
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textes attaches en RTF uniquement
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Responsable de la publication :
le delegue general
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